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samedi 15 mai 2021

Science and Sanity: Sémantique de la théorie d’Einstein

 


Dans la série « oldies but goldies » je viens de retrouver une traduction oubliée des pages 648 à 652 du chapitre XXXVI de Science and Sanity, «Sémantique de la théorie d’Einstein», que j’avais réalisée dans les années quatre-vingt, à l’époque de la machine à écrire. Les termes surlignés sont en italique dans le livre d’origine.

Je l’ai scannée et mise en ligne en pdf à https://www.semantiquegenerale.net/semantique_Einstein.pdf

Isabelle Aubert-Baudron

lundi 5 octobre 2020

Psychiatrie, le Carrefour des Impasses

 



 
Cliquer sur les images pour les agrandir

 

Nouveauté 2020

PSYCHIATRIE, LE CARREFOUR DES IMPASSES

© Isabelle AUBERT-BAUDRON

Interzone Éditions

Illustration de la couverture: Paul O’DONOVAN

Exploited Angels in Retreat ~ The Sanctum for Receiving Reports / Anges exploités en retrait ~ Le sanctuaire pour recevoir les rapports

Version imprimée: 25 € – 246 pages – dépôt légal septembre 2020

Version  électronique gratuite – 307 pages -dépôt légal mai 2020

ISBN: 979-10-94889-04-6

 

          A William Burroughs, Brion Gysin, Henri Laborit , Roger Gentis, Francis Jeanson, Jean-Louis Baudron, Bernard Aigron, Louis Picard, Jean-Pierre Verrier, Bernard Lafond, Clovis Durand, Paul O’Donovan, à mes collègues infirmiers, et à tous les acteurs de ce livre, vivants et morts.

 

dimanche 25 août 2019

Warwick Sweeney: Hardy Tree




This is an extremely interesting book by Warwick Sweeney, with a foreword by Pr Andrew Lees, on Dr Dent’s treatment of apomorphine, on William Burroughs, and on the evolution of the medical area since the fifties in the domain of drugs and the changes of the nature of relation towards patients in the economical context. Hence, the lightening it brings on those latest decades allows a better understanding of the present goals, very useful to health workers and to potential or actual patients as well.
The edition itself by Bracket Press is very good quality, containing many black and white and color illustrations and original documents, for a cheap price compared to the result.

Isabelle Aubert-Baudron



http://www.bracketpress.co.uk/

HARDY TREE – A Doctor’s Bible
by J. Warwick Sweeney


The current rises in anxiety, depression, mental ill-health and addiction are out of control. In the middle of the 20th century, John Yerbury Dent, a pioneering London doctor from the ‘do no harm’ tradition, campaigned for a deeper understanding of these ailments, better treatments and policies. Few listened.
Hardy Tree is a biographical novel written by Dent’s grandson, J Warwick Sweeney, and plots the life of Dent using the doctor’s own writings; his unpublished memoirs and correspondence.
Towards the end of Dent’s life an anonymous and unfulfilled literary genius suffering from heroin addiction came to London. Knocking at death’s door he was sent to knock on Dent’s. His name: William Seward Burroughs.
Hardy Tree is the previously untold story of Burroughs’ rebirth and the crucial part played by his doctor’s compassion, and the lost art of healing. An inspirational and timely story.
Production details: 215mm x 153mm, 448 pages, litho printed on Munken Premium Cream 90gsm, illustrated (colour + b/w), black endpapers, sewn-section binding with fully blocked cover and printed dust jacket. Limited edition of 500 hand-numbered copies. Weight: 1kg approx.
ISBN 978-1-9996740-3-8. Publishing date: 23 August 2019.
RRP: £30.00 + P&P

This book is only available to pre-order from www.bracketpress.co.uk
at special pre-order price: £23 + P&P.


Nouveau catalogue d’Interzone Editions 2019


Le nouveau catalogue d’Interzone Editions, version 2019, est en ligne en pdf à http://www.interzoneeditions.net/Plaquette_Interzone_Editions.pdf avec des liens directs sur les ouvrages et les sites.

La Nouvelle République: A la rencontre des livres, côté jardin


https://www.lanouvellerepublique.fr/loudun/a-la-rencontre-des-livres-cote-jardin
Publié le | Mis à jour le

Auteurs et lecteurs au jardin.
Photo:  NR
Photo prise au 15 rue Porte de Mirebeau.
Exposants de droite à gauche:
– Sylvie Pouliquen: Éditions La Mélusine devant
– Daniel Ramat
– Isabelle Aubert-Baudron (de dos): Interzone Editions
– Jean-Luc Michenot (en arrière plan): Les mots de là

samedi 13 octobre 2018

Monsieur B: les pronoms – Enquête sur "des voix dans la tête"

 

Extrait de « Psychiatrie : le Carrefour des impasses »
à paraître chez Interzone Editions
 
(La retranscription de l’enregistrement contenue dans ce chapitre a été réalisée pour la première fois en anglais, en 1982, pour William Burroughs, qui s’intéressait aux discours des schizophrènes entendant des voix dans leurs tête, et effectuait une recherche sur les voix enregistrées par Constantin Raudive et les travaux de Julian Jaynes sur l’esprit bicaméral: voir les chapitres Ça appartient aux concombres : au sujet des voix enregistrées de Raudive, Essais, tome I, 1981, et Freud et l’inconscient, Essais, tome II, 1984, Christian Bourgois Editeur.)
            Monsieur B était un homme d’une cinquantaine d’années. De taille moyenne, il était vêtu au fil des ans d’une veste chinée défraîchie à dominance beige et de pantalons de costume dépareillés. Ses cheveux gris clairsemés étaient coiffés en arrière. Il portait souvent, été comme hiver, un feutre marron.
            Il était arrivé à l’hôpital dès l’ouverture de ce dernier, flanqué de l’étiquette de schizophrène. L’asile départemental où il était interné depuis une quinzaine d’années l’avait transféré dans le cadre de la sectorisation pour qu’il soit rapproché de sa famille. Il avait en effet une femme et deux filles qui habitaient dans les environs, mais n’avaient jamais donné signe de vie depuis son arrivée.
            Les premiers temps, l’hôpital étant ouvert, il avait tenté quelques promenades à pied jusqu’à la ville, promenades qu’il agrémentait d’une halte dans un café pour y boire un verre de vin. A son retour dans le service, il se reprochait tellement son attrait pour les boissons alcoolisées, bien qu’il n’eût jamais bu au point d’être ivre, qu’il mit un terme à ses sorties.
            Depuis, il se cantonnait dans l’enceinte de l’hôpital. Les jours de beau temps, il allait prendre le soleil sur le parking. Ses activités se bornaient à la fréquentation de la cafétéria et à la rédaction de quelques rares articles destinés au journal intérieur à l’établissement dont il gardait précieusement un exemplaire de chaque numéro dans sa chambre. Il en possédait la collection complète. Il finit par interrompre cette occupation et, s’il continuait à acheter le journal, il en cessa la lecture, disant que, comme il ne lisait pas tous les articles, il redoutait la vengeance de ceux qu’il négligeait, leur attribuant une vie et une volonté propre.
            Sa propension à boire du café avait engendré entre le personnel et lui des relations basées sur le contrôle de sa consommation de cette boisson. Comme d’autres hospitalisés, il l’utilisait pour combattre les effets de ses médicaments et emplissait généralement son bol d’une quantité de café égale sinon supérieure au volume d’eau. Devant les limites qui lui étaient posées, il réagissait par de faibles protestations, puis s’en allait en marmonnant, l’air résigné, regagnant sa chambre ou le radiateur du service auquel il s’adossait, observant les allées et venues et chantonnant de temps à autres. Sa discrétion et sa docilité en avaient fait un des oubliés du service. Ses relations avec les psychiatres se bornaient à une poignée de main quotidienne.
            Il entretenait avec les autres hospitalisés des contacts la plupart du temps courtois; avec certains il évoquait son passé dans l’armée, la deuxième guerre mondiale qui l’avait entraîné en Allemagne puis en Tunisie, bien avant ses premières relations avec la psychiatrie. Il ne supportait cependant pas que d’autres outrepassent les limites qui lui étaient fixées en matière de consommation de café et n’hésitait pas à dénoncer les éventuels goulus au personnel présent, adoptant la mimique d’un enfant cafteur : « Monsieur, il y a Untel qui boit tout le pot de café dans la cuisine! »
            Monsieur B était un homme poli, déférent même. A l’égard du personnel il adoptait l’attitude du subalterne devant son supérieur hiérarchique, la tête penchée en avant, le regard rivé au sol, n’omettant jamais de terminer ses phrases par un respectueux « Monsieur » ou « Madame ».
            Des petits faits de la vie courante, qui paraîtraient insignifiants à la plupart des gens, tenaient pour lui une grande importance. Fumeur, il lui arrivait de solliciter ou de donner du feu. A chaque fois il notait scrupuleusement sur un petit carnet le nom de la personne avec qui il avait eu cet échange et lui en rendait compte régulièrement : « Vous me devez, ou, je vous dois X fois du feu. » Quand son interlocuteur s’en étonnait, il répondait en disant que le fait de donner du feu n’était pas négligeable, qu’un sou est un sou, que les bons comptes font les bons amis et qu’il ne voulait pas devoir quoi que ce soit à quiconque.
            Il passait ses journées à réfléchir et à observer. Il s’exprimait peu. Je l’entendis une fois parler de son épouse. Il n’avait jamais cessé de l’aimer et, bien que très peiné du fait  qu’elle ne lui donne pas de nouvelle, il l’en excusait,  attribuant son silence à sa maladie : « Je ne suis qu’un pauvre fou. », disait-il. Il avait recouvert les murs de sa chambre de phrases écrites au crayon de papier dédiées à sa femme : « J’aime plus que plus que des trilliards de fois Madame B. » Un jour elle demanda le divorce et l’obtint, sans avoir revu son mari.
            Monsieur B. s’était retiré du monde des vivants et les propositions qui lui étaient faites de promenades ou de sorties au cinéma se heurtaient immanquablement à un refus : « Non, madame, je ne peux pas y aller, mes pronoms ne sont pas d’accord. » Je tentai plusieurs fois d’en savoir plus, lui demandant des explications sur ces mystérieux pronoms, sans succès. Il bredouillait alors quelques phrases inaudibles et s’en allait en chantonnant, coupant court à la conversation. Aucun soignant ne savait exactement ce qu’ils représentaient pour lui, si ce n’est qu’ils semblaient jouer un rôle négatif. Un jour, alors que je lui présentais ses médicaments, il me dit : « Ce n’est pas moi qu’il faut soigner, madame, ce sont mes pronoms. » Puis il s’éloigna, l’air préoccupé.
            J’aimais bien Monsieur B.. J’appréciais sa courtoisie et m’efforçais de m’adresser à lui avec une égale politesse. Quant aux limites que ma fonction d’infirmière m’intimait de lui poser, je les lui expliquais en prenant en compte son état de santé. Bien que peu convaincu, il était content que je mette les formes et répondait en hochant la tête, l’air résigné : « Je comprends, madame, je comprends. » Quand je prenais mon travail, il quittait son radiateur pour venir me donner une poignée de main et, soulevant son chapeau de l’autre, il ne manquait pas d’accompagner son salut d’une révérence que je lui rendais. Son visage s’animait alors d’une expression de connivence amusée. Après plusieurs années, nous entretenions des relations tacites de respect mutuel et de complicité.
            De temps en temps, il venait dans le bureau le soir après le dîner alors que je compulsais ou remplissais des dossiers et que les autres personnes étaient couchées ou regardaient la télévision. Il s’asseyait et, échangeant parfois quelques mots de l’ordre du passe-temps, passait une heure en ma compagnie. Je lui proposai de profiter de cette heure creuse pour discuter un moment  avec lui comme il m’arrivait de le faire avec d’autres hospitalisés, et lui dis que je me tenais à sa disposition au cas où il désirerait m’entretenir de sujets qui lui tenaient à cœur.
            Un beau soir, il entra dans le bureau et, de son ton de rapporteur, il dit : « Madame, il y a un de mes pronoms qui ne veut pas croire que le pape est polonais. » C’était la première fois qu’il me demandait d’intervenir dans son domaine. Je décidai de jouer le jeu et, rentrant dans le rôle de l’inspecteur  recueillant la déposition du plaignant, je résolus d’enquêter sur les fameux pronoms. J’enclenchai le magnétophone que je portais avec moi de temps en temps. La conversation qui suit est la fidèle retranscription du dialogue que nous eûmes alors. C’est, à ma connaissance, la première fois que Monsieur B. accepta de livrer des explications détaillées sur ce qu’il vivait et de dresser une carte de son territoire intérieur.
* * *
 
(en raison de la longueur de la retranscription de l’enregistrement, lire la suite dans le site d’Interzone Editions)

mardi 30 janvier 2018

lundi 16 mai 2016

Andrew Lees: Mentored by a Madman: The William Burroughs Experiment

https://www.amazon.fr/Mentored-Madman-William-Burroughs-Experiment/dp/1910749109

In this extraordinary memoir, neuroscientist Andrew Lees explains how William Burroughs, author of Naked Lunch and troubled drug addict, played an unlikely part in his medical career. Lees draws on Burroughs search for an addiction cure to discover a ground-breaking treatment for shaking palsy, and learns how to use the deductive reasoning of Sherlock Holmes to diagnose patients. Lees follows Burroughs into the rainforest and under the influence of yagé (ayahuasca) gains insights that encourage him to pursue new lines of pharmacological research and explore new forms of science.


Available at Notting Hill Editions: http://www.nottinghilleditions.com/authors/andrew-lees/409

Andrew Lees




Andrew Lees is a Professor of Neurology at the National Hospital, London. He is the recipient of numerous awards including the American Academy of Neurology Life Time Achievement Award, the Association of British Neurologist’s Medal, the Dingebauer Prize for outstanding research and the Gowers Medal. He is one of the three most highly cited Parkinson’s disease researchers in the world. He is the author of several books, including Ray of Hope, runner-up in the William Hill Sports Book of the Year and The Silent Plague.



REVIEW OF Mentored by a Madman: the William Burroughs Experiment
Mentored by a Madman. The William Burroughs’s Experiment is a fascinating personal account, by one of the world’s leading neurologists, of his quest to find better treatments for Parkinson’s disease. He takes the reader on an extraordinary journey inside and outside the brain, encompassing the commanding heights of academic neurology and the Amazonian Rain Forests. His deep humanity and honesty shines throughout. The inevitable comparison with late, great Oliver Sacks is entirely just. And Lees’ mentor William Burroughs would be well pleased.” – Raymond Tallis


More at:
https://www.eventbrite.com/e/mentored-by-a-madman-the-william-burroughs-experiment-prof-andrew-lees-tickets-23417904583
http://hqinfo.blogspot.fr/2016/05/mentored-by-madman-wiiliam-burroughs.html
https://www.waterstones.com/book/mentored-by-a-madman/andrew-lees/9781910749104 

lundi 15 juin 2015

Interzone Editions: publication de CENTRAL HÔTEL

Première_de_couverture_Central_Hôtel
Sortie chez Interzone Editions de CENTRAL HÔTEL, une bande dessinée de José Altimiras et Guy Marcenac, d'après le roman d'André Héléna, "Les Clients du Central Hôtel" : http://www.interzoneeditions.net/central_hotel.htm


Bande dessinée: intérieur noir et blanc
Dessins : José ALTIMIRAS ©
Scénario : Guy MARCENAC © c/o in
terzone.editions [at] interpc.fr
ISBN 979-10-94889-00-8 - EAN 9791094889008
Format: 21 x 29,7 cm (A4) – 51 pages
19 €
A paraître en format électronique sur Amazon.

Quatrième_de_couverture_Central_Hôtel
Perpignan, août 1944, la canicule règne. Là, dans la solitude des chambres du Central Hôtel, les corps s’abandonnent à leurs instincts. Pour les clients réunis par hasard dans cet hôtel, l’heure de vérité approche. Dehors, dans les ruelles de la vieille ville, les ombres sinistres de la Gestapo rodent…


André Héléna est un des principaux acteurs du roman noir français d’après-guerre. Né le 7 avril 1919 à Narbonne, il est profondément marqué par les années de guerre. C’est à Paris, en prison pour dettes, qu’il va écrire son premier roman : « Les flics ont toujours raison », publié en 1949 par Roger Dermée, l’éditeur de la rue des Moulins. Auteur prolifique, plus d’une centaine de romans populaires, il s’épuise à la tâche. Gagné par la maladie il meurt à Leucate le 18 novembre 1972.


Une première adaptation de « Les Clients du Central Hôtel » d’André Héléna a été publiée en 2002 chez Voix Editions en version bilingue, sous le titre « Central Hôtel », illustrations : José Altimiras, scénario: Guy Marcenac, traduction catalane: Joan-Daniel Bezsonoff.


Après « Le Taxidermiste », adapté du roman du même nom de Darnaudet-Daurel publié aux éditions Corps 9 (1985), « Central Hôtel » est la deuxième bande dessinée de José Altimiras publiée par Interzone Editions. Il vit et travaille en Catalogne et a publié d'autres ouvrages ("Entre Gener i Desembre" Ed. Rescripta - "Fora de Lloc" Ed. Trabucaire - "Rodamons" Ed. Trabucaire).


Isabelle Aubert-Baudron

Quelques nouvelles de l'éclat



Bonjour,
Avec l’été qui vient, un rappel des titres parus à l’éclat ce premier semestre.
De quoi voyager du Shabbat de Benjamin Gross à Walter Benjamin lecteur de Marcel Proust, de la Grèce de Giorgio Colli (et Nietzsche)  à Wittgenstein vs Freud, des philosophies de Jacques Bouveresse ou de Thomas Nagel aux conversations et "délires divergents" de Philippe K. Dick, des "Aurores" de Maria Zambrano au dernier combat de Carlo Michelstaedter, dont Patricia Farazzi donne une version, en forme de vie (et mort) imaginaire, dans Un crime parfait.

Vous trouverez tous ces livres (et les autres) tout l'été dans quelques excellentes librairies qui ont bien voulu fêter avec nous nos 30 ans.
Le catalogue 1985-2015 est toujours disponible. Si vous voulez le recevoir, il suffit de nous en faire la demande.
 
Bel été à toutes et à tous et merci de votre fidélité
 
 
(cliquez sur les couvertures)
 
Naissance de la philosophie Après Nietzsche philosophie mythologie et pseudo-science la demande philosophique Si ce monde vous déplaît Dernière conversation avant les étoiles De l'aurore  La persuasion et la rhétoriquesun crime parfait Benjamin lit Proust Shabbat

mercredi 17 décembre 2014

Jérôme PINTOUX: "OLD WAVE, COLD WAVE, NEW WAVE, DARK WAVE Déluges sonores et clips des Eighties" chez Camion Blanc

En vente dans le site de l'éditeur: http://www.camionblanc.com/?p=detail_livre&ID=543





Cet ouvrage tourne autour de la New Wave et de ses caractéristiques, les clips, la primauté de l'image et du look sur le son. Plus que sur la musique, nous nous sommes penchés sur les textes : que nous racontent tous ces gens-là ? Les paroles des chansons nous éclairent-elles sur l'époque ? La partie consacrée aux sources nous plonge au cœur des années 60 et 70, avec des analyses des grandes figures. A la fin des années 60 et au début des seventies, les mouvements pop-rock, psyché, glamour, les déluges sonores du funk et du hard rock, s'enchaînent, se superposent, puis passent au second plan avec la déferlante punk. Ils reviennent en force au début des années 80, se prolongent dans la New Wave, l'électro-pop, la Dark Wave, les débuts du gothique. Les rapports peuvent sembler lointain entre l'Old Wave et la New Wave, mais peut-on imaginer The Police, XTC, Tears For Fears sans les Beatles ? Adam and the Ants, Depeche Mode sans David Bowie, sans T.Rex ? The Cure et Robert Smith sans Syd Barrett ? Joy Division et Ian Curtis sans les Doors de Jim Morrison ? Siouxsie and the Banshees, Killing Joke, The Mission sans Led Zeppelin, sans Black Sabbath ? La Cold Wave, l'électro-pop, la Dark Wave sont en germe dans les années 60 et 70. Les filiations ne sont pas toujours évidentes : parfois les racines sont profondément enfouies dans le sol. Dans une première partie, consacrée à l'Ancienne Vague, nous avons présenté les grands anciens, la lame de fond, les précurseurs. Puis nous avons analysé les artistes emblématiques de l'after-Punk, de la New Wave, de la Cold Wave, de la Dark Wave. La dernière partie de l'ouvrage traite du revival New Wave, de la Britpop et du revival Pop Rock Psyché. Là, tout était New Order et beauté, luxe, calme et obscurité.

jeudi 10 juillet 2014

Jean Azarel: Avis de parution « Love is everywhere »

Azarel.jpg

Gros Textes / Editions du Buëch
Avis de Parution

Love is everywhere

De 

Jean AZAREL




"Il y avait du crack dans les narines
Des G.I’s et des Marines
Tombant à Saigon
C’était « Subterranean Homesick Blues »
On avait cinq sens et la peau
Le dégoût dans nos bouches
Coursait les baisers
On avait la rage en Eastmancolor
Pour brûler les drapeaux
Et faire sauter les verrous"




« Les années Beat, Pop Rock, la Route, les Amours et l’Amitié, défilent vivantes et libres dans ce recueil illustré de photos inédites qui est aussi un hommage au poète marin pêcheur Alain Jégou » (J.A)
ISBN : 978-2-35082-261-7
70 pages au format 14 x 21, orné de 2 pages couleur (recto non paginé) photos,
10 € (+ 2 € de port – port compris à partir de l’achat de 2 exemplaires)
Commande à :
Gros Textes
Fontfourane
05380 Châteauroux-les-Alpes
(Chèque à l’ordre de Gros Textes)
 « LOVE IS EVERYWHERE » en lectures et surprises : 18 juillet à 21 h 30 à Lodève, Restaurant « Le Soleil Bleu », 29 juillet à partir de 18 h à Roiron (Haute Loire), café librairie « La Maison Vieille », 30 août à Veynes, aux 4è Journées Richard Brautigan, 26 septembre à 21 h à Serres (Haute vallée de l’Aude), café culturel « La Claranda », 11 décembre à Rennes, Maison de la Poésie, soirée Alain Jégou.

William Brandon III: « Silence », Black Hill Press





Dean O’Leary is a man who lives on the edge: of life, love, and happiness. After a bank robbery gone horribly wrong, Dean leaves his life of crime in Los Angeles and exiles himself to the cold grey sands of Las Vegas. A cruel and unusual twist of fate shows Dean a life filled with the love and hope that he has always thought impossible, and then rips it away. With nothing left to lose, Dean goes all in on one final crime.


jeudi 27 mars 2014

A.D. Winans: This Land Is Not My Land



THIS_LAND_2014

The book itself can't be bought at Amazon or other outlets until it is released to coincide with European distributor this Fall. It was originally published as a chapbook, but is now available perfect bound with nine new poems not in the original chapbook.
 
Advance copies can, in the meantime, be purchased only through the publisher, Presa Press, and myself.
 
Details available to anyone interested.
A.D. Winans

vendredi 7 mars 2014

Boris Darnaudet: « Zeppelin en danger » et dédicace


Prochaine parution : Zeppelin en danger chez Rouge Safran éditions, dircol : Georges Foveau, boss : Henri Lopez... en juin 2014 ! POLAR HISTORIQUE pour les ados !




Prochaine sortie en dédicace à Amélie-les-bains le 3 mai au festival de SF et F !

mardi 4 mars 2014

Quelques nouvelles de l'éclat


Bonjour,
Plusieurs parutions ces mois de février-mars, de Heinrich Heine à John Coltrane, avec toujours ce sens de la disparate qui, à force, va devenir un étendard.
 
Dès le 6 mars vous trouverez en librairie le livre de Raphaël Imbert, dont les radios et la presse, empressées, ont déjà commencé à rendre compte...
Jazz supreme. Initiés, mystiques prophètes, ou "De la spiritualité dans le jazz"! S'il vous fallait un guide pour la grande exposition Great Black Music qui s'ouvre à la Villette, le livre de Raphaël Imbert s'impose.
Puis, un pas en arrière pour retrouver Heine à Paris (sous la direction de Marie-Ange Maillet et Norbert Waszek). Le Paris, capitale du XIXe siècle, où s'ébauche aussi l'industrie culturelle que Heine sera le premier à dénoncer et critiquer...
Enfin Berlin et les Juifs (sous la direction de Laurence Guillon et Heidi Knörzer), qui consacre les épousailles d'une ville et de ses habitants juifs, avant et après la Shoah.
 
 
 
Ce qui ne doit pas vous faire oublier les parutions de janvier : Simone Weil, Duits&Barbier et leur "Logique de la bête", dont vous trouverez encore les détails sur la page des Nouveautés et les livres en librairie.
Cette année, L'éclat aura une présence discrète au Salon du Livre de Paris sur le stand de la Région Île-de France, géré par la Librairie Tschann. Venez nous soutenir !
Plusieurs événements et rencontres auront lieu par ailleurs autour des livres parus et à paraître et  dont vous trouverez le détail sur le site ou sur la page facebook. D'ores et déjà le 13 mars au Goethe Institute de Paris, autour de Heine à Paris, le 4 avril chez Tschann avec Raphaël Imbert (présentation et concert), le 10 avril chez Michele Ignazi avec Emmanuel Fournier pour sa Philosophie infinitive... et le 13 mai avec la Mauvaise Troupe à la Parole errante à Montreuil. Mais on vous redira tout ça en temps voulu.
En attendant, merci de votre fidélité... Faites suivre ce mail à vos amis.
 
L'éclat