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mercredi 24 juin 2020

Galerie Écritures: Réouverture




Bonjour, après ce temps de pause obligatoire, nous allons rouvrir la galerie. nous allons poursuivre jusqu’à fin juin, l’exposition des planches originales d’Edmond Baudoin extraites de 3 œuvres : « Humains, La Roya est un Fleuve », « Le Corps Collectif : Danser l’Invisible » et « Chagrin d’Encre ». Les possibilités de visite restent les mêmes mais ce serait bien de vous en assurer et de réserver soit par mail : galerie.ecritures@live.fr, soit par téléphone au 06 70 09 36 63. Au plaisir de vous revoir et de partager à nouveau cette belle expo. Prenez soin de vous. Jean-Marc Vincent

Interzone Éditions: bibliothèque gratuite


L’Envolée du Livre de Bord – collage © Jean-Louis Baudron


Interzone Éditions présente une documentation gratuite en ligne, en pdf pour la plupart des documents, dans les domaines suivants:
* Livres d’Interzone Éditions
*Documents de recherche
* Sémantique générale
*Matériel pédagogique
*Illustrations

Bien que mis gratuitement à disposition du public, cette documentation est soumise aux droits d’auteur. Si vous en citez des extraits, mentionner l’auteur, le titre et l’adresse internet.

Bonne lecture !

Interzone Éditions: Poésie


Une nouvelle page consacrée à la poésie, en ligne à https://www.interzoneeditions.net/poesie/

Brion Gysin: Come to free the words !

Extrait de Brion Gysin, Poems of Poems, 1985 , lecteur audio.
Poems of Poems

Juniel Al Mage: poèmes: textes et enregistrements audio & collages

Recueil de poèmes pour particuliers, écoles, EHPADS, maisons de retraite, etc.

Musique: Poetai by Vasha Dai and The Mutant Band (2011)

The Time of the Naguals, tome 4: Poems: 150 pages (English, Spanish, French) : en préparation.

A suivre…

samedi 17 novembre 2018

Galerie Ecritures: Exposition


Exposition Collective jusqu’au 31 Décembre des artistes de la galerie
CHARPENTIER
CINQUIN
COLLECINI
Bruno DANJOUX
DUBOIS
ESTAQUE
FISSORE
LAFOUCRIERE
Pierre MARCHAND
Ramuntcho MATTA
Rémy PASTOR

samedi 13 octobre 2018

Monsieur B: les pronoms – Enquête sur "des voix dans la tête"

 

Extrait de « Psychiatrie : le Carrefour des impasses »
à paraître chez Interzone Editions
 
(La retranscription de l’enregistrement contenue dans ce chapitre a été réalisée pour la première fois en anglais, en 1982, pour William Burroughs, qui s’intéressait aux discours des schizophrènes entendant des voix dans leurs tête, et effectuait une recherche sur les voix enregistrées par Constantin Raudive et les travaux de Julian Jaynes sur l’esprit bicaméral: voir les chapitres Ça appartient aux concombres : au sujet des voix enregistrées de Raudive, Essais, tome I, 1981, et Freud et l’inconscient, Essais, tome II, 1984, Christian Bourgois Editeur.)
            Monsieur B était un homme d’une cinquantaine d’années. De taille moyenne, il était vêtu au fil des ans d’une veste chinée défraîchie à dominance beige et de pantalons de costume dépareillés. Ses cheveux gris clairsemés étaient coiffés en arrière. Il portait souvent, été comme hiver, un feutre marron.
            Il était arrivé à l’hôpital dès l’ouverture de ce dernier, flanqué de l’étiquette de schizophrène. L’asile départemental où il était interné depuis une quinzaine d’années l’avait transféré dans le cadre de la sectorisation pour qu’il soit rapproché de sa famille. Il avait en effet une femme et deux filles qui habitaient dans les environs, mais n’avaient jamais donné signe de vie depuis son arrivée.
            Les premiers temps, l’hôpital étant ouvert, il avait tenté quelques promenades à pied jusqu’à la ville, promenades qu’il agrémentait d’une halte dans un café pour y boire un verre de vin. A son retour dans le service, il se reprochait tellement son attrait pour les boissons alcoolisées, bien qu’il n’eût jamais bu au point d’être ivre, qu’il mit un terme à ses sorties.
            Depuis, il se cantonnait dans l’enceinte de l’hôpital. Les jours de beau temps, il allait prendre le soleil sur le parking. Ses activités se bornaient à la fréquentation de la cafétéria et à la rédaction de quelques rares articles destinés au journal intérieur à l’établissement dont il gardait précieusement un exemplaire de chaque numéro dans sa chambre. Il en possédait la collection complète. Il finit par interrompre cette occupation et, s’il continuait à acheter le journal, il en cessa la lecture, disant que, comme il ne lisait pas tous les articles, il redoutait la vengeance de ceux qu’il négligeait, leur attribuant une vie et une volonté propre.
            Sa propension à boire du café avait engendré entre le personnel et lui des relations basées sur le contrôle de sa consommation de cette boisson. Comme d’autres hospitalisés, il l’utilisait pour combattre les effets de ses médicaments et emplissait généralement son bol d’une quantité de café égale sinon supérieure au volume d’eau. Devant les limites qui lui étaient posées, il réagissait par de faibles protestations, puis s’en allait en marmonnant, l’air résigné, regagnant sa chambre ou le radiateur du service auquel il s’adossait, observant les allées et venues et chantonnant de temps à autres. Sa discrétion et sa docilité en avaient fait un des oubliés du service. Ses relations avec les psychiatres se bornaient à une poignée de main quotidienne.
            Il entretenait avec les autres hospitalisés des contacts la plupart du temps courtois; avec certains il évoquait son passé dans l’armée, la deuxième guerre mondiale qui l’avait entraîné en Allemagne puis en Tunisie, bien avant ses premières relations avec la psychiatrie. Il ne supportait cependant pas que d’autres outrepassent les limites qui lui étaient fixées en matière de consommation de café et n’hésitait pas à dénoncer les éventuels goulus au personnel présent, adoptant la mimique d’un enfant cafteur : « Monsieur, il y a Untel qui boit tout le pot de café dans la cuisine! »
            Monsieur B était un homme poli, déférent même. A l’égard du personnel il adoptait l’attitude du subalterne devant son supérieur hiérarchique, la tête penchée en avant, le regard rivé au sol, n’omettant jamais de terminer ses phrases par un respectueux « Monsieur » ou « Madame ».
            Des petits faits de la vie courante, qui paraîtraient insignifiants à la plupart des gens, tenaient pour lui une grande importance. Fumeur, il lui arrivait de solliciter ou de donner du feu. A chaque fois il notait scrupuleusement sur un petit carnet le nom de la personne avec qui il avait eu cet échange et lui en rendait compte régulièrement : « Vous me devez, ou, je vous dois X fois du feu. » Quand son interlocuteur s’en étonnait, il répondait en disant que le fait de donner du feu n’était pas négligeable, qu’un sou est un sou, que les bons comptes font les bons amis et qu’il ne voulait pas devoir quoi que ce soit à quiconque.
            Il passait ses journées à réfléchir et à observer. Il s’exprimait peu. Je l’entendis une fois parler de son épouse. Il n’avait jamais cessé de l’aimer et, bien que très peiné du fait  qu’elle ne lui donne pas de nouvelle, il l’en excusait,  attribuant son silence à sa maladie : « Je ne suis qu’un pauvre fou. », disait-il. Il avait recouvert les murs de sa chambre de phrases écrites au crayon de papier dédiées à sa femme : « J’aime plus que plus que des trilliards de fois Madame B. » Un jour elle demanda le divorce et l’obtint, sans avoir revu son mari.
            Monsieur B. s’était retiré du monde des vivants et les propositions qui lui étaient faites de promenades ou de sorties au cinéma se heurtaient immanquablement à un refus : « Non, madame, je ne peux pas y aller, mes pronoms ne sont pas d’accord. » Je tentai plusieurs fois d’en savoir plus, lui demandant des explications sur ces mystérieux pronoms, sans succès. Il bredouillait alors quelques phrases inaudibles et s’en allait en chantonnant, coupant court à la conversation. Aucun soignant ne savait exactement ce qu’ils représentaient pour lui, si ce n’est qu’ils semblaient jouer un rôle négatif. Un jour, alors que je lui présentais ses médicaments, il me dit : « Ce n’est pas moi qu’il faut soigner, madame, ce sont mes pronoms. » Puis il s’éloigna, l’air préoccupé.
            J’aimais bien Monsieur B.. J’appréciais sa courtoisie et m’efforçais de m’adresser à lui avec une égale politesse. Quant aux limites que ma fonction d’infirmière m’intimait de lui poser, je les lui expliquais en prenant en compte son état de santé. Bien que peu convaincu, il était content que je mette les formes et répondait en hochant la tête, l’air résigné : « Je comprends, madame, je comprends. » Quand je prenais mon travail, il quittait son radiateur pour venir me donner une poignée de main et, soulevant son chapeau de l’autre, il ne manquait pas d’accompagner son salut d’une révérence que je lui rendais. Son visage s’animait alors d’une expression de connivence amusée. Après plusieurs années, nous entretenions des relations tacites de respect mutuel et de complicité.
            De temps en temps, il venait dans le bureau le soir après le dîner alors que je compulsais ou remplissais des dossiers et que les autres personnes étaient couchées ou regardaient la télévision. Il s’asseyait et, échangeant parfois quelques mots de l’ordre du passe-temps, passait une heure en ma compagnie. Je lui proposai de profiter de cette heure creuse pour discuter un moment  avec lui comme il m’arrivait de le faire avec d’autres hospitalisés, et lui dis que je me tenais à sa disposition au cas où il désirerait m’entretenir de sujets qui lui tenaient à cœur.
            Un beau soir, il entra dans le bureau et, de son ton de rapporteur, il dit : « Madame, il y a un de mes pronoms qui ne veut pas croire que le pape est polonais. » C’était la première fois qu’il me demandait d’intervenir dans son domaine. Je décidai de jouer le jeu et, rentrant dans le rôle de l’inspecteur  recueillant la déposition du plaignant, je résolus d’enquêter sur les fameux pronoms. J’enclenchai le magnétophone que je portais avec moi de temps en temps. La conversation qui suit est la fidèle retranscription du dialogue que nous eûmes alors. C’est, à ma connaissance, la première fois que Monsieur B. accepta de livrer des explications détaillées sur ce qu’il vivait et de dresser une carte de son territoire intérieur.
* * *
 
(en raison de la longueur de la retranscription de l’enregistrement, lire la suite dans le site d’Interzone Editions)

vendredi 11 mai 2018

Homage to Paul O'Donovan!

 
 


Paul O'Donovan passed away on May 8th. We got in touch through the network Interzone, when he started to send me astonishing portraits of William Burroughs. He kept sending illustrations: the ones on Burroughs, Gysin, Interzone and the Beats are gathered in the first tome of The Time of the Naguals - Around Burroughs and Gysin and in the French Tome Le Temps des Naguals - Autour de Burroughs et Gysin .

Many others are in Interzone GalleriesPaul O'DONOVAN: 1 2 3 4  6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38  39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
and in his Facebook page.

He realized the illustration of Interzone Editions: Modified corn dollys' literary circle.

 
 
Paul also was a singer and guitar player: you can listen to his  live album "The Happy Lands and Elsewhere" and record it.
 
Farewell, Paul !  See you in the Western Lands.
My deepest sympathy to his love, Elisabeth !
 
"When you read this I am alive.
I am here on this page. I am here. I am HERE!"
                                                                             Brion Gysin, Beat Museum - Bardo Hotel Chapter 2.


dimanche 29 avril 2018

Vaidas Šadeika: Lithuanian translation of « The Cat Inside » by William Burroughs

Vaidas Šadeika is a Lithuanian translator, also musician and English teacher. His translation of William Burroughs' book, "The Cat Inside", is now published by 'Literatura ir menas' (Literature and art), with thetitle "Katé viduje", on line at http://literaturairmenas.lt/2018-01-19-nr-3647/4443-vertimai/6757-william-s-burroughs-kate-viduje .

Other translations by Vaidas Šadeika

Demaskavimas by Michael Crichton,
Šamaniškos Egipto misterijos by Nicki Scully
33 karo strategijos by Robert Greene (Goodreads Author), Ovidijus Stokys (Translator), Rasa Jurevičienė (Translator), Vaidas Šadeika (Translator)

On YouTube

- Poezijos ir muzikos vakaras: Vaidas Šadeika : "The Smile" de William Blake: http://www.youtube.com/watch?v=esSKPyZtmUo- Poezijos ir muzikos vakaras: Vaidas Šadeika : Rilke
http://www.youtube.com/watch?v=QWcacWumGsM&feature=related
- Poezijos ir muzikos vakaras: Vaidas Šadeika : Rimbaud
http://www.youtube.com/watch?v=JJ-3WMU1kh0 
 

 

Jean-Louis Baudron: Cut-ups et collages: Dos tourné vers l’Infini & La chambre de l’Autodidacte

Le dos tourné vers l’Infini – Collage Jean-Louis Baudron


La Chambre de l’Autodidacte – Collage Jean-Louis Baudron

Jean-Louis Baudron: Cut-ups et collages: https://www.facebook.com/jeanlouis.baudron

Interzone Editions: L’Illustration 1925

Quelques tableaux tirés de l’Illustration 1925, pdf en ligne

 http://www.interzoneeditions.net/Illustration1925.pdf 

http://www.interzoneeditions.net/Illustration1925.pdf

Sous la tonnelle, par Cyprien BOULET

lundi 19 février 2018

François Darnaudet: Le Papyrus de Venise


LE PAPYRUS DE VENISE Format Kindle

Voici ma meilleur vente en numérique : environ 2 200 ventes sur Amazon à comparer avec les 1000 exemplaires de la version papier chez Nestiveqnen. C'est le livre qui a été le plus encensé et le plus conchié de mon oeuvrette. Mais j'ai adoré l'écrire, je m'en fous. Il y avait Venise, l'Atlantide, Lautréamont, Custer, un Minotaure etc. La moyenne de 3 étoiles est obtenue grâce à un grand nombre de 1 et de 5. Bref, c'est le seul de mes romans à avoir déclenché ces réactions aussi opposées. Mais 3200 ventes (2200 + 1000) à l'arrivée. Pour un roman fantastique et aussi disjoncté...
#Amazon

Quel lien mystérieux unit les chasseurs de dinosaures du dix-neuvième siècle, la mort du poète Lautréamont en plein siège de Paris, le massacre du lieutenant-colonel Custer près de Little Bighorn, la Dame d'Elche, l'effondrement du Campanile de Venise, le disque de Phaïstos, le philosophe Platon et Venise, l'immortelle Venise ?
"L'Atlantide !" répond un curieux personnage vivant sur l'île de Burano et qui dit s'être appelé Jacques Bergier dans une précédente vie.
La réédition en numérique du célèbre "Le papyrus de Venise".

Le papyrus de Venise Broché – 16 novembre 2006

Et la version papier... J'aime les deux illustrations. Celle du numérique par Elric Dufau est charmante et reposante. Celle de Pierre Massine en papier est plus tourmentée. Venise, ma chère Venise dans les deux couves.
#Amazon 



François Darnaudet https://www.facebook.com/francois.darnaudet

jeudi 1 février 2018

Galerie Ecritures: Décrochage chorégraphique, Bruno Danjoux

 
La galerie Ecritures, Bruno Danjoux, artiste peintre, danseur et chorégraphe, et l'Association de danse contemporaine Kadansé
Présentent
HAPPENING DANSE à la galerie Ecritures

 Le samedi 10 février 2018 à 18h

Bruno Danjoux, après une expo en 2010, puis en 2014, revient à la galerie Ecritures pour une nouvelle exposition « Ecouter la Lumière ». Dans ce cadre, il a animé un stage de danse contemporaine avec l’association Kadansé : « J’avais envie lors de ce stage en lien avec l’exposition Ecouter la lumière, de travailler sur ce que j’appelle les volumes porteurs de la présence. Qui danse quand je danse ? Quel est le monde que je porte en moi et que je donne à voir ? Comment retrouver cette clarté antécédente qui m’habite et qui coud le monde ensemble ; la pesanteur et la légèreté, l’intelligence et l’ignorance, le spirituel et le matériel … ? »

Le Samedi 10 février à 18 heures, l’association Kadansé proposera un « décrochage chorégraphique » dans l’espace de l’exposition, 1 rue Pierre-Petit dans le vieux Montluçon. L’occasion de transposer des petites formes (solo, duo, trio…), accompagné par le musicien : Laurent Hery. Entrée libre.

Galerie Ecritures, 1, rue Pierre Petit, 03100 Montluçon
https://www.facebook.com/Ecritures.Montlucon/

dimanche 7 août 2016

The Western Lands: New URL

 The address of the site The Western Lands has changed since the new owner of interpc, the previous hoster, has moved it to http://westernlands.idline.fr, but the links have not been updated in the site, so I have started to move its content to http://www.inter-zone.org/westernlands/ . It’s the first site of Interzone (1997). It contains information on the group, the texts sent by the members, the Interzone Ring, etc.


 
http://www.inter-zone.org/westernlands/

mardi 2 février 2016

Vasha Dai: The album

VASHA DAI AND THE MUTANT BAND ¨THE ALBUM¨ 



Gido Lahuis – electric guitar, mandolin, sazs, bass, back vocal on “The Cat”
Martijn Westra – bass, fretless bass
Vasha Dai – acoustic guitar, charango, vocal
Michelle Samba – drums, back vocal on “These stars”
Diederik Pasman – electric organ
Lennart Boonstra - acordeon Lyrics by Vasha Dai Recorded in Academie voor Popcultuur studios and Gido’s house during 17th – 24th of March, 2015, Leeuwaarden, The Netherlands Produced by Gido Lahuis and Ramūnas Peršonis Cover artwork by Leandro Falcone Cover and booklet design by Mavic Espiritu

credits

released January 30, 2016

Listen or download: https://vashadai.bandcamp.com/album/the-album

jeudi 29 janvier 2015

Dreamachine group on Facebook





Dan Sol in New Jersey has created a Dreamachine group on Facebook at https://www.facebook.com/groups/1528453680776296/ . Eleven years ago, he created the Yahoo group Dreamachine for exchanges and info, but it now is obsolete. Facebook seems more proper: let's try and see. Thanks, Dan, and great to be in touch again !


The info and research gathered by Interzone members is on line at www.inter-zone.org/dm.html , in French and English. It has also been published in Interzone anthology in the following tomes, on line in pdf :
- "Le Temps des Naguals - Autour de Burroughs et Gysin" http://www.interzoneeditions.net/naguals.htm
http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TNFR.pdf
 

- "The Time of the Naguals - Research" http://www.interzoneeditions.net/tnenglish.htm
http://www.inter-zone.org/thetimeofthenagua…/TN2research.pdf