Affichage des articles dont le libellé est galerie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est galerie. Afficher tous les articles

jeudi 20 septembre 2018

jeudi 7 juin 2018

Ramuntcho Matta: le Champ du Chant, vernissage Galerie Ecritures

Ramuntcho MATTA
Les Champs du Chant
Exposition du 15 juin au 15 septembre 2018
Vernissage le 15 juin à 18 h
Galerie ECRITURES 1 rue Pierre PETIT 03100 MONTLUCON
 
*
A cette occasion, Romain Becdelievre consacre son émission "Par les temps qui courent"  sur France Culture au travail de Ramuntcho Matta et de cette expo, le mercredi 13 juin à 21 h
*
Il y a bien longtemps que je voulais proposer une exposition à Ramuntcho MATTA, artiste multimédium. Car s’il est musicien, la rencontre avec Ramuntcho ne s’est pas faite seulement autour de la chanson et de la musique, mais elle s’est faite dès les années 80 à travers la poésie et la peinture, grâce à Brion GYSIN. C’était au début de la création d’ECRITURES, j’allais souvent à Paris chez Brion qui a collaboré tout de suite à la revue. Il m’a rapidement fait rencontrer Ramuntcho qu’il aimait beaucoup et dont il appréciait le travail. Avec Ramuntcho, nous ne nous sommes pas souvent retrouvés chez Brion, car ce dernier aimait recevoir individuellement les gens qu’il appréciait, mais nous parlions souvent de lui. A cette époque, en plus de l’écriture et de la peinture, la musique était présente aussi, que ce soit celle de Ramuntcho ou de Genesis P-Orridge, que nous faisait écouter Brion en expérimentant la Dream Machine. Puis est arrivée l’époque de « Toi, toi mon toit » et Ramuntcho m’a fait découvrir ses autres créations en collaboration avec Brion Gysin, Don Cherry, Elli Medeiros, Polo Lombardo, Lou Reed …. Le graphisme de ses pochettes d’alors m’avait beaucoup plu avec des écritures et des dessins qui racontaient des histoires comme celles que l’on retrouve dans son travail d’aujourd’hui. J’avais très envie que Ramuntcho montre ses créations à la galerie, ici à Montluçon, et alors qu’il a gentiment accepté, nous avons convenu de réaliser un carnet autour du travail qu’il nous présente dans cette exposition, carnet que nous avons édité et qui sera en vente à la galerie.

Jean Marc VINCENT

Entre Elli Medeiros, Don Cherry, William Burroughs et Lou Reed, il y a Ramuntcho MATTA

Ramuntcho Matta est un artiste pluridisciplinaire français né le 4 février 1960 à Neuilly-sur-Seine. Il est le fils du peintre chilien Roberto Matta, frère du plasticien et architecte Gordon Matta-Clark et de Federica Matta, il a vécu dans une illustre famille de créateurs en choisissant d’abord la musique comme principal support, notamment lorsqu’il habitait à New-York à la fin des années 70. 
Diagnostiqué autiste à la naissance, sa thérapie reposera sur l’apprentissage de la musique et du yoga. À 7 ans, il s’initie à la guitare auprès du Cuarteto Cedrón. En 1974-1975, il intègre successivement la Schola Cantorum pour le piano et le Conservatoire Rachmaninoff pour l’harmonie.
À l’âge de quinze ans, il fréquentait déjà Burroughs, Don Cherry, les poètes beat mais surtout Brion Gysin, poète sonore et écrivain beat américain qui avait élu résidence à Paris, et véritable inventeur de la technique du cut up selon Burroughs. « Je suis tombé sur un directeur d’école quand j’avais 15 ans qui m’a fait un deal : tu viens en cours de philo et de poésie et je ne dirai pas à tes parents que tu ne vas pas à l’école. Je veux que tu ailles faire les courses pour un ami à moi qui est très malade. Cet ami c’était Brion Gysin. Je me suis trouvé l’assistant et le secrétaire de Brion Gysin. Mais surtout je découvre Burroughs, Iggy Pop, David Bowie, Ginsberg. Je lis ce livre qui s’appelle The Third Mind qui montre, qu’à deux personnes, on peut créer une troisième personne. Donc mon travail, quand je travaille avec un artiste, avec un autiste, avec un musicien, c’est essayer de voir ce qu’il y a en lui, c’est pas de projeter. J’ai une espèce de don pour rendre la personne à l’aise avec son mal-être ». 
En 1979, il part étudier à la « Third Street School of Music » à New York. Il rencontre Laurie Anderson qui lui expose ses concepts architecturaux appliqués à la composition et rencontre John Cage. En 1981, il rencontre Don Cherry et initie avec lui une collaboration musicale qui donnera naissance à plusieurs albums.
À partir de 1984, il collabore avec une artiste uruguayenne, Elli Medeiros, sa future épouse ; il élabore avec elle une chanson « Toi mon toit », suivie de plusieurs albums trouvant une possibilité de modeler une nouvelle pop française mêlée d’influences afro-cubaines. Le tube « Toi, Mon Toit ». De nature discrète, il fut mis à la lumière avec la composition et la production du titre « Toi mon Toit », tube d’Elli Medeiros sorti en 1986, soit une paire d’années après Les Nuits de la Pleine Lune de Rohmer et la séparation du duo Elli & Jacno. Ce morceau, à l’image du parcours de Ramuntcho Matta, lui est arrivé dessus de manière plutôt accidentelle, alors qu’il n’aspirait pas nécessairement à pénétrer l’industrie du disque : « Je fais une grand distinction entre l’art et l’industrie du disque. Ça m’est tombé dessus, je n’ai rien fait pour, ma mère est tombée malade et je suis tombé amoureux. Pour Toi Mon Toit, j’avais en tête un morceau de Meredith Monk qui faisait « you you you you », et moi j’entendais « toi toi toi toi », c’est comme ça que « Toi Mon Toit » est née. C’était une vraie chanson d’amour. » « Après « Toi Mon Toit », beaucoup de maisons de disques m’ont donné beaucoup d’argent pour refaire des tubes. Mais moi ça ne m’intéressait pas,  j’allais à fond dans la direction de l’artiste. Les mecs de maisons de disques gueulaient, mais je leur disais que c’était précisément mon travail, d’accompagner les artistes. »
Après ce début de carrière artistique dans la musique de style variété pop rock à la fin des années 70, il s’oriente plus tard sur des sujets de création plus singuliers dans lesquels il utilise aussi les arts plastiques par delà son travail de compositeur afin de donner forme à des questionnements, des sujets de création plus singuliers et complexes utilisant parfois le son, le dessin, la vidéo, l’espace, les mots ou des combinatoires.
En 1989, il monte un studio d’enregistrement au Portugal. De 1991 à 2000, en tant que consultant en arborescence émotionnelle et concepteur sonore, il travaille sur des habillages sonores, des projets de CD-roms éducatifs, des scénographies interactives. Il enseigne une méthodologie du doute et est directeur du Bureau du doute à l’ENSCI. Depuis 2000, Ramuntcho Matta développe sa pratique artistique et collabore au sein du label SometimeStudio à la production d’artistes soit oubliés, soit à découvrir.
En 2008, il fonde le projet Lizières, plateforme de réflexion et d’échanges autour des notions de cultures et de ressources, avec pour objectifs de faire sortir l’avant-garde de son isolement et de donner des espaces de liberté à l’expérimentation.
En 2011-2012, il réalise un long métrage, Intimatta, consacré à son père l’artiste Roberto Matta, qui reçoit le soutien du Conseil national de la télévision chilienne
Chris Marker en tentant de définir son travail trouva l’adjectif: « multimedium ». En tant que compositeur, il a réalisé 23 CD solo et a collaboré à une vingtaine d’autres disques. Il a exposé ses travaux multimediums à Paris, New York, Londres, Madrid, Barcelone, Tokyo et Rome. Depuis toujours, Ramuntcho Matta semble avoir passé son temps à semer ses poursuivants, des requins de maisons de disques aux promoteurs, producteurs ou mécènes plus ou moins mal intentionnés. (« Si on veut avancer, il faut rester dans l’ombre. C’est de là qu’on voit le mieux la lumière »).
« Avec Laurie Anderson, j’ai découvert la construction sonore.
Avec Robert Wilson, j’ai découvert certaines notions de scénographie et d’espace.
Avec Don Cherry, j’ai découvert une conscience du jazz, de l’improvisation…
Avec Brion Gysin, j’ai découvert la narration.
Avec Félix Guattari, j’ai découvert le multiple.
Avec John Cage, j’ai découvert l’aléatoire.
Avec Chris Marker, j’ai découvert la synthèse.
Avec la musique, j’ai découvert la complémentarité.
Avec mon père, j’ai découvert le ”regarder”.
Avec mon chat, j’ai découvert le ronronnement. »


vendredi 11 mai 2018

Homage to Paul O'Donovan!

 
 


Paul O'Donovan passed away on May 8th. We got in touch through the network Interzone, when he started to send me astonishing portraits of William Burroughs. He kept sending illustrations: the ones on Burroughs, Gysin, Interzone and the Beats are gathered in the first tome of The Time of the Naguals - Around Burroughs and Gysin and in the French Tome Le Temps des Naguals - Autour de Burroughs et Gysin .

Many others are in Interzone GalleriesPaul O'DONOVAN: 1 2 3 4  6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38  39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
and in his Facebook page.

He realized the illustration of Interzone Editions: Modified corn dollys' literary circle.

 
 
Paul also was a singer and guitar player: you can listen to his  live album "The Happy Lands and Elsewhere" and record it.
 
Farewell, Paul !  See you in the Western Lands.
My deepest sympathy to his love, Elisabeth !
 
"When you read this I am alive.
I am here on this page. I am here. I am HERE!"
                                                                             Brion Gysin, Beat Museum - Bardo Hotel Chapter 2.


samedi 17 février 2018

Galerie Ecritures: exposition Jean Estaque

Jean ESTAQUE
A l’occasion du 100ème anniversaire de la mort d’Octave MIRBEAU, Jean ESTAQUE lui rend hommage en mettant en correspondance des textes, des illustrations de journaux d’époque, des œuvres des artistes soutenu par l’auteur et des travaux de Jean ESTAQUE mettant en valeur des textes significatifs de l’auteur.
Exposition du 17 février au 21 mai 2018
Vernissage le 17 février à partir de 10 h 30
Galerie ECRITURES
1, rue Pierre Petit 03100 MONTLUCON
de 15 h à 18 h du mardi au samedi et sur RDV
Hommage à
OCTAVE MIRBEAU

Octave Mirbeau, né le 16 février 1848 à Trévières (Calvados) et mort le 16 février 1917 à Paris, est un écrivain, critique d’art et journaliste français. Il connut une célébrité européenne et de grands succès populaires, tout en étant également apprécié et reconnu par les avant-gardes littéraires et artistiques, ce qui n’est pas commun.
Journaliste influent et fort bien rémunéré, critique d’art défenseur des avant-gardes, pamphlétaire redouté, Octave Mirbeau est aussi un romancier novateur, qui a contribué à l’évolution du genre romanesque, et un dramaturge, à la fois classique et moderne, qui a triomphé sur toutes les grandes scènes du monde. Mais, après sa mort, il traverse pendant un demi-siècle une période de purgatoire : il est visiblement trop dérangeant pour la classe dirigeante, tant sur le plan littéraire et esthétique que sur le plan politique et social.
Littérairement incorrect, il est inclassable, il fait fi des étiquettes, des théories et des écoles, et il étend à tous les genres littéraires sa contestation radicale des institutions culturelles ; également politiquement incorrect, farouchement individualiste et libertaire, il incarne une figure d’intellectuel critique, potentiellement subversif et « irrécupérable », selon l’expression de Jean-Paul Sartre dans Les Mains sales.
Parallèlement, en tant que critique d’art influent et doté d’une espèce de prescience, il pourfend l’art académique des Édouard Detaille, Jean-Louis-Ernest Meissonier, Alexandre Cabanel et William Bouguereau, il tourne en ridicule le système des Salons, ces « bazars à treize sous », ces « grandes foires aux médiocrités grouillantes et décorées », et il bataille pour les grands artistes novateurs, longtemps moqués et méconnus, parce que les sociétés, selon lui, ne sauraient tolérer le génie : « Tout l’effort des collectivités tend à faire disparaître de l’humanité l’homme de génie, parce qu’elles ne permettent pas qu’un homme puisse dépasser de la tête un autre homme, et qu’elles ont décidé que toute supériorité, dans n’importe quel ordre, est, sinon un crime, du moins une monstruosité, quelque chose d’absolument anti-social, un ferment d’anarchie. Honte et mort à celui dont la taille est trop haute ! »
Mirbeau se fait donc le chantre attitré d’Auguste Rodin, de Claude Monet et de Camille Pissarro ; il est l’admirateur de Paul Cézanne, d’Edgar Degas et d’Auguste Renoir, le défenseur d’Eugène Carrière, de Paul Gauguin — qui, grâce à ses articles élogieux, en février 1891, peut payer son voyage à Tahiti —, de Félix Vallotton, d’Édouard Vuillard et de Pierre Bonnard, le découvreur de Maxime Maufra, de Constantin Meunier, de Vincent van Gogh, de Camille Claudel, dont il proclame à trois reprises le « génie », d’Aristide Maillol et de Maurice Utrillo. Ses articles sur l’art ont été recueillis dans les deux gros volumes de ses Combats esthétiques, parus à la Librairie Séguier en 1993.
Ardent défenseur et collectionneur de l’art de son temps
« […] comme il sut choisir toujours les pièces les plus franches, les plus aiguës, les plus révélatrices, nul ensemble réuni par aucun amateur n’a encore offert une image aussi caractéristique de l’effort contemporain. » (préface anonyme du catalogue de la vente de sa collection).
Afin de pouvoir transformer la villa de Triel-sur-Seine en un lieu de villégiature pour les littérateurs et artistes « maltraités par le sort », sa veuve dut vendre cette importante collection de Tableaux, aquarelles, pastels et dessins, par Paul Cézanne (13 œuvres, dont deux autoportraits), Bonnard, Cross, Daumier, Paul Gauguin, Vincent van Gogh (2 œuvres, dont Le Père Tanguy, 1887), Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoir, Rodin (23 dessins), K.-V. Roussel, Seurat, Signac, Utrillo, Félix Vallotton (M. Thadée Natanson, 1897), Valtat, Vuillard, et des sculptures par Camille Claudel (un plâtre), Aristide Maillol (10 plâtres, terres cuites, bois et bronzes) et Rodin (11 plâtres, marbres et bronzes, dont le buste de Victor Hugo et celui de l’écrivain, qui peut être celui reproduit plus bas), fut mise aux enchères publiques, le 24 février 1919, à la galerie Durand-Ruel, 16, rue Laffitte, à Paris.
Mirbeau n’a jamais été oublié et n’a jamais cessé d’être publié, mais on l’a souvent mal lu, à travers de trompeuses grilles de lecture (par exemple, nombre de critiques et d’historiens de la littérature l’ont embrigadé bien malgré lui parmi les naturalistes), ou bien on a voulu voir dans plusieurs de ses romans des œuvres érotiques, comme en témoignent nombre de couvertures de ses innombrables traductions. On a aussi eu fâcheusement tendance à réduire son immense production aux trois titres les plus emblématiques de son œuvre littéraire.
Politiquement incorrect, socialement irrécupérable et littérairement inclassable, il a traversé, après sa mort, une longue période d’incompréhension de la part des auteurs de manuels et d’histoires littéraires ; et le faux « Testament politique », rédigé par Gustave Hervé et publié cinq jours après sa mort par sa veuve abusive, Alice Regnault, a contribué à brouiller durablement son image.
Fondée à Angers le 28 novembre 1993 et présidée par Pierre Michel, professeur agrégé et docteur-ès-lettres, biographe et éditeur de Mirbeau, la Société Octave Mirbeau a pour objectif de contribuer à la connaissance de la vie, des combats et de l’œuvre du grand écrivain normand par tous les moyens à sa disposition. Heureusement, depuis vingt ans, grâce au développement des études mirbelliennes et de (parution de sa biographie, nombreuses découvertes de textes insoupçonnés, publication de très nombreux inédits, fondation de la Société Octave Mirbeau, création des Cahiers Octave Mirbeau, organisation de nombreux colloques internationaux et interdisciplinaires (sept entre 1991 et 2007), constitution d’un Fonds Octave Mirbeau à la Bibliothèque Universitaire d’Angers, ouverture de deux sites web consacrés à Mirbeau, mise en ligne de la plus grande partie de ses écrits), on le découvre sous un jour nouveau, on le lit sans idées préconçues ni étiquettes réductrices, on publie la totalité de son œuvre, dont des pans entiers étaient méconnus ou ignorés, voire totalement insoupçonnés (ses romans écrits comme nègre, par exemple), et on commence tardivement à prendre la mesure de son tempérament d’exception, de son originalité d’écrivain et du rôle éminent qu’il a joué sur la scène politique, littéraire et artistique de la Belle Époque, ainsi que dans l’évolution des genres littéraires.
À voir : http://www.mirbeau.org/liens.html
Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON
http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html
facebook  http://www.facebook.com/galerie.ecritures

jeudi 1 février 2018

Galerie Didier Devillez: Vernissage exposition Arié Mandelbaum


 

Didier Devillez
a le plaisir de vous convier
au vernissage de l’exposition

ARIÉ MANDELBAUM
Généalogie(s)
le samedi 3 février 2018
de 16 à 19h

GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
devillez@skynet.be http://www.galeriedidierdevillez.be/

Jean-Louis Baudron: Cut-ups et Collages: Un Rêve Plein de Soucis


Cut-ups et collages: https://www.facebook.com/jeanlouis.baudron

Galerie Ecritures: Décrochage chorégraphique, Bruno Danjoux

 
La galerie Ecritures, Bruno Danjoux, artiste peintre, danseur et chorégraphe, et l'Association de danse contemporaine Kadansé
Présentent
HAPPENING DANSE à la galerie Ecritures

 Le samedi 10 février 2018 à 18h

Bruno Danjoux, après une expo en 2010, puis en 2014, revient à la galerie Ecritures pour une nouvelle exposition « Ecouter la Lumière ». Dans ce cadre, il a animé un stage de danse contemporaine avec l’association Kadansé : « J’avais envie lors de ce stage en lien avec l’exposition Ecouter la lumière, de travailler sur ce que j’appelle les volumes porteurs de la présence. Qui danse quand je danse ? Quel est le monde que je porte en moi et que je donne à voir ? Comment retrouver cette clarté antécédente qui m’habite et qui coud le monde ensemble ; la pesanteur et la légèreté, l’intelligence et l’ignorance, le spirituel et le matériel … ? »

Le Samedi 10 février à 18 heures, l’association Kadansé proposera un « décrochage chorégraphique » dans l’espace de l’exposition, 1 rue Pierre-Petit dans le vieux Montluçon. L’occasion de transposer des petites formes (solo, duo, trio…), accompagné par le musicien : Laurent Hery. Entrée libre.

Galerie Ecritures, 1, rue Pierre Petit, 03100 Montluçon
https://www.facebook.com/Ecritures.Montlucon/

vendredi 7 mars 2014