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lundi 12 octobre 2015

Galerie Ecritures: Lecture

Samedi 17 octobre

à 17h - à la Galerie Ecritures

une LECTURE

des textes de Jean Peysson entourée des œuvres de Patrice Collecini 

Le Dernier des Fils (récit) - Une Ombre entre deux arbres (poèmes) 

Avec Jean Peysson et Valérie Vivier 
Rencontres… 

 Ces rencontres sont initiées par Valérie Vivier, comédienne. 

              Il y a quelques années, elle découvre dans une galerie lyonnaise, le travail de Patrice Collecini. Elle s’en souvient lors de la lecture d’Hiver Printanier de Tarjei Vesaas au Fracas où ses œuvres servent d’écrin à la rencontre amoureuse de deux adolescents.  

            C’est Patrice Collecini qui lui parle de son ami Jean Peysson dont elle découvre éblouïe l’écriture rare, sans concession, dérangeante, nocturne et solaire à la fois. C’est ainsi qu’est née l’envie, avec la complicité de Jean-Marc Vincent de la Galerie ECRITURES, d’inviter ces deux artistes à Montluçon. 

             Jean Peysson est comédien et metteur en scène. En tant qu'auteur, son écriture a été longtemps réservée au théâtre avant d’écrire Le dernier des fils  et Une ombre entre deux arbres éditions d’écarts. 

            La rencontre avec le peintre Patrice Collecini, il y a plusieurs années, a eu pour cadre un petit territoire de montagne où chacun s'était retiré dans la solitude pour approfondir son travail. 

            L'exigence, l'énergie créatrice, le dépouillement, l'absence de compromis dans une époque où toutes les valeurs morales et artistiques semblent s'effriter, ont rapproché ces deux artistes chacun voyant en l'autre un frère sur le chemin de l'art.  

Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON   
http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html
 facebook  http://www.facebook.com/galerie.ecritures

vendredi 2 octobre 2015

Galerie Ecritures: Exposition Collecini

 collecini
COLLECINI
Exposition du 3 octobre au 28 novembre 2015

Vernissage le Samedi 3 Octobre à partir de 10h 30

Dans le cadre de l'exposition, lecture de textes de et par Jean Peysson
"auteur ami de l'artiste qui développe dans son écriture un univers fort et singulier" et Valérie Vivier
le samedi 17 octobre à 17 h

Né à Lyon en 1958, autodidacte, Patrice COLLECINI commence à exposer en 1977. C'est un peintre expérimenté qui a préféré se former seul et n'est pas resté aux Beaux-Arts de Lyon où il avait été admis. Depuis il ne se consacre qu'à la peinture et à la création. Dés les années 1985, il a travaillé la gouache sur différents papiers, petit et grand formats. Tout en travaillant d’autres techniques : pastels, acrylique et huile, il reste fidèle à la gouache.
Depuis ses débuts en 1977 au Salon d'automne de Lyon, ses œuvres ont été montrées dans des galeries françaises ou étrangères comme la Montage Gallery à Portland (1995), la galerie May à Megève (2004), la galerie Gottfried Stracke à Cologne (2009), la galerie Franklin à Lyon (2010), etc. Il exposa en 2009 avec le céramiste Xavier Duroselle et fut invité dans de nombreuses autres expositions collectives dont celle au prieuré de Manthes dans la Drôme en 2013, mais aussi « Art en capitale » en 2012 au Grand Palais à Paris.
Il a illustré quelques ouvrages comme « La poésie Ligurienne du XXe siècle » des Cahiers de Poésie-Rencontres (1999) et le livre de poésie « Images » aux Éditions Gaspard Nocturne (2001). Il est présent dans les collections du Conseil Général du Rhône, de la Ville de Lyon, du Conseil Régional de Rhône-Alpes et dans des collections privées partout en Europe mais aussi aux USA et au Canada.

RESUME DES PRINCIPALES EXPOSITIONS :
 
1977           Lyon                                     Salon d’Automne
1985           Lyon                                 Banque M+M Morins Pons
1992           Nevers                             Galerie Jean-Marie Bignolas
1993           Saint Etienne                   Hyundaï Exposition Muriel Roche
1995           Portland (USA)                 Montage Galery
1997           Dieulefit                           Galerie Serge Emiliani
1999           Issy les Moulinaux           Daniel Jouvance-Atelier Jean Eiffel
2003           Aix-en-Provence               Centre Océasource-Daniel Jouvance
2004           Megève                             Galerie May
2009           Cologne                             Galerie Gottfried Stracke
2010           Lyon                                 Galerie Franklin
2010           Villebois                          Atelier/Galerie, exposition permanente
2012           Paris                                 Exposition collective au Grand Palais
2014           Paris                                 Exposition GRAPHENES Mairie 5°
2015           Montluçon                         Galerie Ecritures

REALISATIONS :
1999             Dessins noir et blanc. Illustrations  Cahiers de Poésie-Rencontres « La Poésie ligurienne du XXe siècle ».
2001         Participation à l’ouvrage « Des peintres   et des poètes », 20 ans de Poésie-Rencontres.
2001         Illustrations du livre de poésie « Images » aux Editions Gaspard Nocturne à Romans.
2015             Fresque murale Internat A.Favre LYON.
ACQUISITIONS :
1995             Conseil Général du Rhône
1996            Ville de Lyon
2008             Conseil régional Rhône-Alpes
COLLECTIONS PRIVEES:
France – Angleterre – Allemagne –Hollande – Belgique – Espagne Danemark – Norvège – Suisse – Etats Unis – Canada.


Jean-Marie LEMAIRE parle des Peintures de PATRICE COLLECINI
 
« Se rappeler qu'un tableau -avant d'être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote- est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », écrivait en 1890, Maurice Denis, peinture et théoricien.
 
On voit là que le sujet perd grandement de son importance. Donc, pas de cheval pour enlever une absence de femme nue à qui l'on n'a rien à raconter. Allant plus loin, la peinture n'ayant plus besoin de rendre visible quelque récit que ce soit, elle peut cesser de reconstruire l'espace tridimensionnel. Refus de la figure et de la   représentation, la peinture devient alors un travail essentiellement basé sur ses éléments constitutifs: matière, couleur, surface, cadre, format, ayant ses qualités propres et capables d'incarner une pensée sensible. La peinture pure.
Voilà résumé en dix lignes un siècle qui a réussi à bâtir un art autre, où la peinture devient elle-même objet. Aujourd'hui, on ne peut plus tremper son pinceau dans la peinture pour peindre le nez de quelqu'un ou le sein de quelqu'une ! L'abstraction est désormais une possibilité offerte, disponible parmi d'autres.

Patrice COLLECINI a fait ce choix. Celui d'un art qui récuse toute forme de figuration aussi bien que d'imitation, s'affranchit de la vraisemblance, détruit l'illusion pour mieux révéler sa vérité et s'offre à la perception plus qu'à l'imagination. Il en fait un support privilégié de l'expression d'une recherche personnelle. Il n'essaie pas de faire aussi réel que la réalité du monde extérieur mais, comme l’écrit Claude Levy-Strauss, des imitations réalistes de modèles non existants.
C’est à travers un art pictural complexe et toujours un peu mystérieux, la quête d’un absolu de l’ordre du spirituel, un contenu émotionnel de vibrations et de sensations qu’il nous faut décrypter dans le silence de ses lumières d’ocre de terre et gris de cendre comme en musique ce qui se passe entre les notes.
Certaines œuvres d’art projettent dans leur espace immédiat une aura d’intimité au-delà de laquelle il nous faut entrer. On la découvre vraiment que si l’on s’en approche, qu’on en pénètre la sphère et qu’on la « regarde dans les yeux ».
Chacun de ses tableaux devient alors le reflet d’une réalité autre, de celle qui n’appartient qu’à chacun. Ils ne transcrivent ni n’illustrent une pensée. Ils sont la pensée, dans l’entrecroisement de celle de l’artiste et de la nôtre.
Chaque toile de Patrice COLLECINI obéit à ses propres lois, mais appartient en même temps à tout un cycle qui lui est propre. C’est à travers toute la finesse d’un réseau infinitésimal de stries et de rayures, gestuelle à l’amplitude économe, d’une superposition croisée de chemins de griffures colorées à la palette subtile et réduite, d’effets plus ou moins aléatoires de la matière, de glissements de taches qui recréent plans et profondeurs, traces enfouies, que Patrice COLLECINI rassemble les éléments d’une nouvelle architecture picturale.
Jean-Marie Lemaire « Les rendez-vous de Jean-Marie Lemaire à la Spirale « LE TOBOGGAN » LYON/DECINES

« La peinture c'est du silence, comme l'a dit Bram Van Velde. C'est à la personne qui regarde mes toiles de dire ce qu'elle ressent. Pour moi, la peinture correspond à de la musique mais pas à de la prose.»
Patrice Collecini travaille en solitaire, dans le calme de la campagne. Sa peinture l'habite et il compose. L'urgence quotidienne le pousse à des gestes amples ou répétitifs et vers le noir et blanc ou quelques autres tons rompus. De la grandiloquence à l'intimité, sa musique est celle de l'instant, de la sensation et du sentiment profond. Le rythme est à chercher dans la série et les variations de couleurs qu'elle contient et non dans les formes. À chacun de composer sa propre symphonie par association. Dans ses derniers tableaux, il laisse un peu plus s'exprimer la matière. Son oeuvre nous transporte, lui et nous.
Contemplation...
Texte de Valérie LORON extrait du site GRAPHENES.
Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON    http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html  facebook  http://www.facebook.com/galerie.ecritures 

lundi 14 septembre 2015

Galerie Didier Devillez: Focus septembre 2015

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GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935devillez@skynet.be
galeriedidierdevillez.be
tribal-collection.com 
Vu Thang(Hai Phong, Vietnam, 1970)Sans titre, 2014
Résine et pigments sur bois
Format : 20 x 20 cm

mardi 26 mai 2015

Didier Devillez: Focus mai - Brion Gysin

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BRION GYSIN
(Taplow, 1916 - Paris, 1986) Sans titre, 1959
Technique mixte sur papier
Format : 35,7 x 53,5 cm


 The very word « calligraphy » indicates only a portion of a much larger phenomenon.
Gysin studied Japanese calligraphy while he was serving in the Canadian army and working as a translator of Japanese during the Second World War.
Later, in 1950, Gysin studied Arabic calligraphy and script in Morocco. He also absorbed and practised gestural abstraction, having shared a studio with Matta, and he spent time with Max Ernst, Arshile Gorky and Jackson Pollock in New York in the late 1940s.
Therefore the tendency towards sense and structure in Gysin’s painting, associated with the linguistic signs of Japanese or Arabic, was combined early on with interest in pure fluctuations of density and energy in the visual field.(Guy Brett, p 53, in Brion Gysin, Edited by José Férez Kuri, Thames and Hudson, 2003)


GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
devillez@skynet.be
galeriedidierdevillez.be
tribal-collection.com

vendredi 17 avril 2015

Galerie Didier Devillez : Go between 4

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  Exposition
jeudi 23 avril 2015 de 14 à 21h
vendredi 24 et samedi 25 avril
jeudi 30 avril, vendredi 1er
et samedi 2 mai
de 14h à 18h30
RICHARD KENIGSMAN
Kaddish, peintures, dessins
Vernissage jeudi 23/04 de 18 à 21h

  devilez_7ttu_couvsojcher_6 Samedi 02/05 à 16h Trente-huit variations sur le mot juif

Une lecture par Jacques Sojcher
suivie d'une séance de dédicace des ouvrages.
Au départ, il y a eu ma demande : Richard veux-tu illustrer mes poèmes –38 variations sur le mot juif – qui vont paraître chez Fata Morgana ?  Le mot illustrer ne convenait pas. Nous pensions tous les deux à un accompagnement dans la proximité et la distance, dans l’illustration figurative.  C’était pour toi le pari de représenter l’irreprésentable, comme pour moi ce fut de dire l’indicible.
Tu allais passer rapidement de la fougue dionysiaque de tes grands tableaux à une sorte d’arte povera, à une écriture et une gestuelle de la main gauche.
C'est comme une prière, comme le mot Kaddish, qui glorifie et sanctifie le nom divin innéffable et indiscibe.
Kaddish, la prière des morts par et pour les vivants, les survivants.
Trente-huit variations sur le mot juif, Jacques Sojcher, Éditions Fata Morgana, 56 p., 12€
Nombre de places limité, réservation indispensable.
 
 
Retrouvez Richard Kenigsman sur :
galeriedidierdevillez.be et  richardkenigsman.com
GALERIE DIDIER DEVILLEZ - 53 rue Emmanuel Van Driessche - 1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935 - devillez@skynet.be - galeriedidierdevillez.be - tribal-collection.com