vendredi 25 janvier 2013

mercredi 23 janvier 2013

vendredi 18 janvier 2013

tolérance au plagiat, « vide juridique « , CP-CNU (Commission permanente du Conseil national des universités)

Jean-Noël Darde (MCF - Université Paris 8) a mis en ligne sur le blog Archéologie du copier-coller les copies des deux courriers mails et leurs documents annexes mis en ligne en décembre dernier à la suite de sa rencontre avec la présidente de la CP-CNU, deux de ses vice-présidents et le président de la 71e section du CNU. Il a fait précéder ces mails d'une introduction et les a fait suivre des commentaires de certains des signataires de Refusons de fermer les yeux.... qui lui ont donné leur accord pour cette mise en ligne.
L'ensemble est intitulé : La Commission permanente du Conseil national des universités, le « vide juridique » et la tolérance au plagiat .

galerie didier devillez, focus janvier 2013


GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935

Quelques nouvelles de l'éclat


Bonjour et tous nos vœux pour cette nouvelle année, que l'on espère riche en tout (rebondissements, (bonnes) surprises, (belles) amitiés, soleils (plusieurs) prospérité (durable, autant que le développement)),
et qui commence à L'éclat par un roman "d'un noir illimité" (de Patricia Farazzi) traversant les années soixante-dix jusqu'au seuil de ce XXIe siècle, décortiquant ce qu'ont pu devenir ces rêves de liberté, ces amitiés sans concession, ces échappé(e)s du système… Ecriture lucide et intime d'une période qui a voulu construire un monde à coup de destructions...


320 p. 18 euros

Vous pouvez en lire des extraits ici et le livre sera en librairie à partir du 15 janvier,
en même temps que deux "éclats" sur Venise et Jankélévitch,


dont vous trouverez le détail sur la page nouveautés.
Puis viendra février avec la réédition du livre de Jacques Bouveresse sur Robert Musil (épuisé depuis quelque temps) et deux livres traduits de l'italien: Mario Tronti, Nous opéraïstes et Christian Marazzi, La brutalité financière, tous deux co-édités avec les éditions d'En-Bas et Réalités sociales (de Lausanne) et sur lesquels nous reviendrons.
Et pour terminer, les samedi 13 et dimanche 14 janvier, les Editions de l'éclat seront présentes aux rencontres organisées par l'Appel des 451 à Montreuil Venez nombreux, dites-le à vos amis, parlez-en entre vous… ne lésinez pas sur la diffusion de l'information Merci de votre fidélité
L'éclat

lundi 7 janvier 2013

vernissage exposition paul schrobiltgen et marek wyrzykowski à la galerie didier devillez

 






retrouvez l'exposition Paul Schrobiltgen et Marek Wyrzykowski sur




GALERIE DIDIER DEVILLEZ

53, rue Emmanuel Van Driessche 1050 Bruxelles (Belgique)+32(0)475 931 935

Cédric Rameau Monpouillan: Exposition "Regards Croisés"



Artiste permanent de Arts Home Galerie : http://www.artshomegalerie.com/ , Cédric Rameau Monpouillan est membre de la Maison des Artistes, peintre, sculpteur, verrier et
scénographe.

Exposition :

REGARDS CROISES
du 8 janvier au 8 mars 2013
avec Patrice Naturel et Cédric RAmeau Monpouillan

ARTS HOME GALERIE
32 bis Rue Briçonnet
37000 TOURS
Tél: 02 47 61 72 98

Sites personnels:
http://cedricrmonpouillan.wifeo.com/  
http://crameaumonpouillan.weebly.com/


  • Home
  • Traversée (exhibition)
  • Oil on linen
  • Paper work (Silk road)
  • Sculptures
  • Gallery 1
  • more... 

  • Cedric Rameau Monpouillan
    Casa Filicophyta
    Fougerit
    79340 Vasles
    Tél: 0549642369 - 0680342144
    cedric.clairobscur[at]orange.fr
     

     

    Jean Puijalon: Tao t'es clown


    http://www.clownessence.fr/tao-t-es-clown.php




    l'Ecole du Clown Invisible



    Livre (de type BOOK), disponible sur Amazon.fr - 351 p - Lydie Taïeb, Jean Puijalon, Illustrations : Nicolas Zadounaïsky. Le Clown Invisible personnifie notre désir d’exister, notre puissance de vie et notre plaisir d’entreprendre nos rêves les plus fous. Son énergie reste un Mystère Caché aux yeux du public mais elle anime l’Artiste que nous sommes, au plus intime. Elle est la source de notre créativité quels que soient notre métier et notre projet d’existence.

    Comment pêcher cette perle rare ?

    Le Clown Invisible impulse l’énergie de vivre aux ‘gamins’ et ‘gamines’ que nous sommes, au fond… Vivant au Présent de toute éternité dans notre souffle même, il est à la fois l’inspiration de l’Artiste et l’auxiliaire des Anges Gardiens.

    Pour chaque Artiste, il est vital d’(ap)-prendre conscience de ce qui l’empêche de sentir l’énergie de son Clown, de surfer sur sa Piste aux Merveilles et de rester en pleine perception de ses impulsions, qui le provoquent à trouver le Sens de sa Vie.

    Transmuter la Pâte-à-Trac en Pâte-à-Clown est le défi que le Clown Invisible lance à son Artiste, seul qu’il est à pouvoir discerner la façon juste d’embrasser ses ombres et à se retrouver en prise directe avec son énergie fondamentale d’existence.

    Chaque obstacle vécu en conscience chez l’Artiste augmente le pouvoir du Clown Invisible qui peut alors œuvrer en véritable Maître Intérieur. L’enseignement exposé ici lui fait une complète confiance et entend travailler notre jardin de conscience personnel en exploitant tout son génie.
    LYDIE TAÏEB vient d’un univers d’ingénieure chercheur, de poète, de danseuse, de metteure en scène et d’écrivain public-biographe. Créatrice de ClownEssence et des concepts du Clown Invisible et de la ClownDanse®, elle plonge dans les dimensions macro-micro-cosmiques et archétypiques de l’enseignement du Clown ‘à corps gagné’.

    JEAN PUIJALON vient d’un univers de linguiste, d’analyse comparée des religions et de psycho-analyse jungienne. Enseignant en Méditation, en Innovation et Management, il plonge dans la pédagogie de la Conscience Corporelle du Clown® avec les palmes sémantiques et le tuba quantique des voies orientales d’évolution.

    Le travail d’ingénierie pédagogique exposé ici résulte de la fusion de leurs pratiques. Il exploite l’intelligence du Non-Agir du Tao Tö King de LAO TSEU et donne naissance à l’École du Clown Invisible et à un nouveau concept imprévu : le Clown Arc-en-Ciel !
    Deux moyens de se le procurer :
    improvisation par DON : 14,85 €

    improvisation par AMAZON.FR : 20,33 €

    En Belgique :

    improvisation à LA LIBRAIRIE "ART DU LIVRE", rue de Bruxelles, 24, 1400 Nivelles en Belgique. tél. : 067/216768. - mail : artdulivre(at)scarlet.be

    improvisation à LA LIBRAIRIE MAËLSTROM reEvolution, Chaussée de Wavre 364, B-1040 Etterbeek. tél. : +32(0)2 230 40 07. - mail : info(at)maelstromreevolution.org
     

    Vœux de Jean Puijalon


     
    À fin d’année,
    Voici le compte à rebours du Nouvel An 2013 !
    Il était une fois un petit village qui portait le curieux nom de Faimdamnée. Personne ne savait d’où venait ce nom qui était bien la seule curiosité du village. Alors qu’il ne comptait qu’une trentaine de familles et pas de quoi fouetter un chat, il y avait quand même un château fort qu’avaient construit les ancêtres de Monsieur le Comte actuel, dernier descendant de la noble famille des Harebours. Celui ci l’habitait effectivement.
    De l’autre côté du village et à la lisière de la forêt, une petite abbaye n’était plus habitée que par un vieux moine, le Frère Miltrez, aussi breton que bourru, qui vivait sur les réserves du potager et du verger. Il savait aussi faire du pain lorsque les gens du village lui apportaient de la farine et du pâté pour manger avec, dans les grandes occasions.
    Le dernier jour de chaque année, pour fêter le Nouvel An, les Harebours avaient pour tradition d’offrir un grand repas à tous les habitants du village, dont les impôts contribuaient quand même un peu à leur confort d’existence, il faut bien le dire. Comme chaque année au cours du repas, Monsieur le Comte demanda à l’assemblée de ses concitoyens, qui s’étaient tous bien habillés, si quelqu’un connaissait l’origine du nom du village.
    Sa question surprit tout le monde. Pas par sa nouveauté, bien sûr, mais plutôt parce qu’année après année, il continuait à la poser, sans se lasser. Cet entêtement-même était surprenant. Les gens avaient l’habitude de vivre à Faimdamnée et cela leur suffisait. Pourquoi donc chercher à comprendre ce qui n’a pas besoin d’être compris puisque c’est déjà là et qu’on vit dedans, n’est-ce pas ?
    Sauf le Frère Miltrez et pour deux motifs : son travail de moine l’entraînait à vivre les activités du monde ordinaire, pâté de lapin compris d’une part, mais aussi dans les réalités du monde intérieur, d’autre part. « Quand on est moine, on n’est jamais dérangeable, disait-il. Ceux qui viennent me rendre visite ne peuvent pas me prévenir de leur arrivée et je n’ai pas d’emploi du temps. En vérité, c’est le temps qui m’emploie ! » Les gens avaient l’habitude ; ils ne cherchaient pas vraiment à comprendre ce qu’il disait. Ils l’écoutaient parler comme une sorte de musique. C’était moins fatigant.
    - Si vous me permettez, Monsieur le Compte, j’ai peut-être une réponse. Cette année, j’ai fait quelques recherches… que je vous ai apportées.
    Et le moine vint offrir à Monsieur le Comte Harebours une boite qu’il lui remit cérémonieusement. Ce dernier l’ouvrit et son sourire se transforma en surprise amusée.
    - Monsieur le moine, j’ai bien l’impression que cette boite est vide.
    - Monsieur le Comte, il serait plus juste de dire que vous la voyez vide.
    - Serait-ce trop vous demander de bien vouloir m’expliquer ?
    - Je le ferai volontiers, Monseigneur. Et je peux le faire parce que nous vivons tous ici, et vous et moi, grâce à une curieuse activité invisible que nous appelons l’esprit. À force d’observer mon esprit, j’ai constaté qu’il fonctionne comme le ‘vide’ qui se trouve dans cette boite. Si je veille à employer cette boite en conscience, je peux l’utiliser dans toutes les occasions de la vie ordinaire, et il y en a beaucoup ! Si je la perds de vue intérieure de conscience, elle devient comme un village déserté par ses habitants. Les herbes, les ronces et les arbres l’envahissent ; le vent, la pluie et les voleurs détruisent rapidement les rues et les maisons. Et le village s’appelle alors « Abandon ».
    - Frère Miltrez, il n’y a ici que des gens ordinaires, intervint le Comte. Votre parabole semble bien loin de ma question !
    - Je n’ai pas terminé, Monseigneur. Le sentiment d’abandon provoque la sensation du « Manque ». Si j’ai faim ou soif en conscience, je me sers de ma boite vide comme il faut et tout va bien. Si je laisse les ‘choses ordinaires’ se produire, ou si j’ignore qu’elles se produisent ainsi, ce Manque se transforme en Désir que jamais rien ne pourra satisfaire, ce qui laisse mon village intérieur en état d’abandon et mon esprit en état de souffrance.
    - Et quel rapport ai-je, moi, avec votre belle histoire ?
    - Depuis votre jeune âge, Monseigneur, on vous a transmis cette question que vous posez à chaque fois que reviennent l’hiver et l’époque de ce repas que vous nous offrez ce soir. La sensation de faim ne fabrique pas de souffrance.
    Avez-vous remarqué que dans le mot « manque » se cache l’opposé de plénitude, un autre mot ? La souffrance commence avec les interprétations des mots qui possèdent notre esprit comme des démons, lorsque notre conscience perd de vue ou ignore son existence… Peut-être est-ce là le sens de Faim Damnée…
    - Et pourquoi, Monsieur le moine, m’offrir une boite vide ?
    - Ce n’est pas ce que j’ai fait, Monsieur le Comte. Je vous ai offert du vide en boite. La boite ordinaire est trop petite pour contenir la conscience ; mais elle nous rappelle que chaque fois que notre conscience cesse de l’utiliser, c’est la souffrance qui possède notre ‘esprit ordinaire’.
    - Frère Miltrez, voilà qui rend cette soirée de Nouvel An très symbolique !
    - Monsieur le Comte, notre esprit sait aisément jouer avec les mots. Il est plus difficile d’apprendre à jouer avec notre esprit. Le Nouvel An n’existe… qu’avec les mots de notre esprit, comme un symbole, n’est-ce pas ?
     
     
    À Faimdamnée,

    C’était le Comte Harebours du Nouvel An de Miltrez.
    Meilleurs Vœux
    Intérieurs et extérieurs du Moineau Nez Rouge !
    Prochaine ClownMéditation® du Moine au Nez-Rouge
    à Atelier Z le 29 Janvier 2103 !
    Jean Puijalon , le 1er janvier 2013

    lundi 31 décembre 2012

    Charles, Pam and Liz Plymell at Jesse James' cabin, 1970

     
    Charles, Pam and Liz Plymell at Jesse James' house,
    Missouri, 1970
     


    AD. Winans: Happy New Year !

    "Good resolutions are simply checks that men draw on a bank where they have no account."
    ~Oscar Wilde


    HAPPY NEW YEAR!!!!

    Anthony Rousseau: Meilleurs voeux 2013


    Bonjour à toutes et à tous.
    Je vous envoie mes meilleurs voeux pour cette année 2013 qui débute…

    Bien à vous

    Galerie Ecritures: meilleurs voeux

    Les Artistes et les membres de la Galerie ECRITURES vous présentent leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2013, vœux de bonheur et de santé.
    La galerie ECRITURES expose jusqu’au 14-02-2013 Jean ESTAQUE : « Il voit des Saints partout »
    En Mars, la Galerie Ecritures donne carte blanche à fondencre Créée en 2005 par Philippe Biget avec la complicité de quelques proches et amis, l’Association fondencre est à vocation littéraire et artistique.
    Elle développe principalement une activité éditoriale exigeante et ouverte sur le monde déclinée en quatre collections (Récits et fictions, Beaux Livres, Écrits sur l’Art, Jalons du XXe siècle).
    La galerie présente des oeuvres de toutes époques des artistes qui sont en permanence à la galerie : Pierre LAFOUCRIERE, Yo MARCHAND, Jacques CINQUIN, Rémy PASTOR, Claire MOREAU, Jean ESTAQUE, GUERRERO, Bruno DANJOUX, Philippe FISSORE, José DUBOIS, Guy MADEVERY ...
    Bonne année et au plaisir de vous revoir.


    Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON
    http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html
    facebook http://www.facebook.com/galerie.ecritures

    Le petit Niortais l'été 68 et les rock stars

    http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Loisirs/Livres-cd-dvd/n/Contenus/Articles/2012/12/29/Le-petit-Niortais-l-ete-68-et-les-rock-stars

     
    Jérôme Pintoux. Niort-Londres en 68 : le choc des mondes. « Niort, pour moi, c'était la Sèvre. Je faisais de la barque avec des copains en amont du Jardin des Plantes. »
     
     

    Jérôme Pintoux publie un roman qui a pour cadre Niort et Londres à la fin des sixties. Un récit qui doit beaucoup à son propre journal de bord d’adolescent.
    De Gaulle et Cohn-Bendit déjeunent ensemble un jour de 68. De quoi parlent-ils ? Des 33 tours de Jimi Hendrix. Une scène que Jérôme Pintoux s'est offert le plaisir d'imaginer dans son dernier roman, « Vinyles Vintage ». L'histoire d'un petit Niortais qui du haut de ses 17 ans explore la folle atmosphère du « Swinging London » de la fin des sixties.
    Ça pourrait commencer comme « A nous les petites Anglaises », mais la suite n'a rien à voir. « Quand j'avais 17 ans, mes parents m'ont envoyé en Grande-Bretagne. J'entrais en terminale et ils voulaient que j'acquière un certain niveau en anglais », raconte Jérôme Pintoux, dont le père dirigeait la droguerie du même nom, institution du commerce niortais aujourd'hui tenue par son frère.
    Nous avons tous un été qui a été l'été de notre vie. Celui de Jérôme Pintoux a été l'été 68. Durant tout son voyage, il prend des notes. Un journal de bord ressorti intact des décennies plus tard. « Rien de sexuel là-dedans, mais c'était pire : c'était mon cœur mis à nu. »
    Ce témoignage sur le vif, il l'épaissit avec le récit de faux rêves et des interviews de rock stars. Son personnage croise Jim Morisson, Frank Zappa ou Paul McCartney. Jérôme Pintoux s'est fait une spécialité de ces interviews imaginaires : la sortie l'an dernier d'une série consacrée aux classiques de la littérature, lui avait valu une invitation sur France-Culture. Lui qui écrit pour des revues rock comme Jukebox Magazine, sortira l'an prochain un dictionnaire sur Dylan.
    " Rien de sexuel dans tout ça. Mais c'était pire : c'était mon cœur mis à nu. "
    Niort-Londres en 68 : le choc des mondes. « Niort, pour moi, c'était la Sèvre. Je faisais de la barque avec des copains en amont du Jardin des Plantes. » Il remontait la Sèvre jusqu'à Sainte-Pezenne, jusqu'au château des Loups qu'avait failli racheter le comédien Jean Richard.
    Un drapeau rouge sur le Donjon
    Et 68 dans tout ça ? Un écho amorti et lointain. On boycotte au lycée la prof d'espagnol parce que sa tête ne nous revient pas. Seul acte subversif notable, un drapeau rouge planté au sommet du Donjon. « Des gens à Niort prétendaient être allés sur les barricades à Paris et on ne savait pas si c'était vrai ou s'ils étaient mythomanes. »
    Alors quand il franchit le Channel, c'est l'explosion : « N'oublions pas qu'avoir 17 ans en 1968, c'est comme avoir 13 ans en 2012 : on restait enfant bien plus longtemps qu'aujourd'hui. »
    Pas de passéisme, Jérôme Pintoux ne joue pas les anciens combattants du rock : « J'ai voulu faire un livre beaucoup plus drôle que nostalgique. Ce dont je me souviens, c'est d'une joie de vivre et d'un esprit qui deux ans après, avaient disparu. Le rock était devenu une routine. Mais il faut se méfier des âges d'or. »
    nr.niort@nrco.fr
    « Vinyles Vintage », édité aux Presses du Midi, 16 €. En vente à La Librairie des Halles.
    Yves Revert

    vendredi 21 décembre 2012

    Le nouveau livre de Jérôme Pintoux

    http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Loisirs/Livres-cd-dvd/n/Contenus/Articles/2012/12/20/Le-nouveau-livre-de-Jerome-Pintoux

    Jérôme Pintoux.
    Jérôme Pintoux.

    Jérôme Pintoux publie aux Presses du Midi un roman qui a pour cadre Niort et Londres en 1968, « Vinyles Vintage ». Le personnage principal, du haut de ses 17 ans, part dans la capitale du Royaume-Uni à la rencontre des rock stars de l'époque, de Lennon à Jagger en passant par Dylan. Le livre fait revivre le « swinging London » de ces années trépidantes.
    En 2011, Jérôme Pintoux dont le grand-père et le père ont tenu la droguerie du même nom (une institution du commerce local aujourd'hui dirigée par son frère) avait publié une série d'interviews imaginaires et post-mortem de 77 grands classiques de la littérature, de Corneille à Zola. Ce qui lui avait valu d'être invité sur France-Culture.

    jeudi 20 décembre 2012

    Anthony Rousseau: Vidéo "In progress / 01" - Carine Abraham.

    Bonjour à toutes et à tous !
     
    Je tenais à vous faire découvrir la vidéo "IN PROGRESS / 01" de l'artiste Carine Abraham…
     
    Elle est la première d'une série de 4 vidéos. Retranscription graphique et animée d'un flux mental et émotionnel où pensées et souvenirs oscillent entre cohérence, construction, récurrence et chaos.

    Bonnes Fêtes de fin d'année !

    Bien à vous

    Anthony

    mercredi 19 décembre 2012

    First long feature documentary about William S. Burroughs will be re-released after two decades out of print


    The first long feature documentary about iconic writer William S. Burroughs, one of the most radically subversive literary figures of the 20th century and Godfather to the Beat poets such as Jack Kerouac and Allen Ginsberg, is set to be restored and re-released after decades of being out of print.

    The campaign to restore Burroughs: The Movie will officially be launched on Kickstarter on World Aids Day December 1st 2012 and it will run for 30 days. A rare screening of the film will be held December 11th 2012 at 7pm at the October Gallery in London, UK (24 Old Gloucester Street Bloomsbury, London WC1N 3AL).

    The late Howard Brookner began his Burroughs film while in NYU film school in 1978 with his fellow students Jim Jarmusch, who did the sound, and Tom DiCillo on camera.  Five years later Brookner had finished Burroughs: The Movie with the help of BBC.

    Burroughs: The Movie was Howard Brookner’s first of three feature length films followed by Robert Wilson and the Civil Wars (1986) and Bloodhounds of Broadway (1989) - starring Madonna, Matt Dillon and Jennifer Grey among other well known actors. He died of AIDS in 1989, at thirty-four years old. "If I live on it is in your memories and the films I made", he wrote in a letter he left to his parents. “That letter was my engine to bring Howard back to life through his work. After a long search I found the only print of Burroughs: The Movie in good condition and embarked on a project to remaster it and make it available to the public”, says Aaron Brookner, nephew of the filmmaker. “The remastering is part of the work I want to do to preserve my uncle’s legacy”.  Howard Brookner’s archive includes more than 300 assets that need urgent preservation. “The re-release of Burroughs is a first step towards recovering what he made while he was alive.”

    ‘Burroughs: The Movie’ features the writer’s close circle of friends including Patti Smith, Allen Ginsberg, Brion Gysin, Francis Bacon, John Giorno, James Grauerholz and Terry Southern. The film premiered at the 1983 New York Film Festival to rave reviews. Janet Maslin from The New York Times wrote: “Rarely is a documentary as well attuned to its subject as Howard Brookner's "Burroughs", which captures as much about the life, work and sensibility of its subject as its 86 minute format allows. (T)he quality of discovery about "Burroughs" is very much the director's doing, and Mr. Brookner demonstrates an unusual degree of liveliness and curiosity in exploring his subject".

    February 5, 2014 will mark William S. Burroughs 100th Birthday and the film should be released by then. Also 2013 will mark the 30th Anniversary since the release of Burroughs: The Movie and that’s when the restoration will take place.

    Howard Brookner’s archive collection contains never before seen material from Burroughs: The Movie including interviews with Andy Warhol, Patti Smith, Frank Zappa, Brion Gysin, the legendary Nova Convention, Brian Jones, Anthony Balch and more. “He documented what was probably the last comprehensive counter culture movement which came out of downtown New York City in the late 1970s/early 80s, influencing so many of the leading styles and ideas of today,” says Aaron Brookner.

    Beyond the restoration of the Burroughs film, any proceedings beyond the target funding will be used to restore and preserve Howard Brookner’s archive described by Francis Poole, head of Film and Video Collection at the University of Delaware, as “one of the most amazing collections I have ever seen”.  Aaron Brookner, who is also a filmmaker, plans to create a film about his uncle’s life called Smash The Control Machine: Howard Brookner & the Western Lands using much of the found footage. “Howard is a strong inspiration and he lived a short but beautiful life full of sardonic wit.  He was a great filmmaker and this discovery will allow the world to enjoy his work. I want to honour who he was through the memories of those he influenced, and the films he made.”

    To finance the restoration project, a crowdfunding campaign will be launched on Kickstarter to raise USD 20.000 (approx 13.000 British Pounds or 16.000 Euros).

    For more information about the campaign to restore Burroughs: The Movie, Smash the Control Machine film and Howard Brookner’s archive please visit www.aaronbrookner.com




     
     
     

    For further information and press requests please contact:
    Paula Vaccaro at Pinball London on +4420 7226 6490 / +447941 474 721 paula@pinballonline.co.uk  

    Restoration of Burroughs: The Movie by Howard Brookner
    http://www.kickstarter.com/projects/pinball/restoration-of-burroughs-the-movie-by-howard-brook
    Facebook: http://www.facebook.com/burroughsthemovie